Ouvrir des espaces de parole.
Repenser le territoire et les rôles sociaux genrés.
Échanger mutuellement sur différentes réalités et pratiques de lutte.
Reconnaître la conjugaison des oppressions.
Formuler d’autres possibles.
Nous proposons à travers ce projet de développer une critique de l’extractivisme à partir d’analyses féministes anti-coloniales.
Avec qui?
Il s’agit d’un porte-voix pour les femmes comme pour toute personne vivant une oppression basée sur le genre et qui souhaitent réfléchir, partager, penser, échanger sur leurs vécus face à l’exploitation du territoire.
Comment ça?
Ce projet s’inscrit dans la continuité de la première audience du Tribunal permanent des peuples (TPP) qui s’est déroulé à Montréal en mai 2014, où a été identifié le besoin d’approfondir spécifiquement les analyses féministes des enjeux extractifs.
Quels outils?
Des ateliers créatifs sur une demi-journée intégreront des marionnettes, du théâtre forum et des mises en situation afin d’expérimenter collectivement différentes avenues de réflexion face aux menaces extractives.
Des capsules vidéos seront créées par les personnes souhaitant s’approprier les outils audiovisuels et témoigner de leur rapport au territoire et/ou des impacts de l’industrie extractive.